Entra dans la salle de recrutement un homme de taille moyenne, avec un capuchon dont l'eau dégoulinait en trombe. Il enleva sa veste et la posa sur une chaise; il avait les cheveux d'un noir sombre qui contrastait avec une mêche doré. Vêtu d'un habit couleur Terre, il commença à parler :
Fiers Serviteurs du Saint Ordre, je me nomme Elhandil du royaume d'Asternel situé dans le Grand Nord. Je viens ici dans le but de participer à l'accomplissement de vos divers buts. De plus, le Représentant de votre guilde, Sieur Mirias, faisait partit de mon ancienne guilde, non que je cherche une aide mais au cas où des doutes subsistent, il pourra vous éclairer. Je peux affirmer que mon soutien sera d'une grande aide, car cela serait présomptueux mais néanmoins je peux vous garantir une aide en biens terrestres et une fidélité qui sera solide, tant que nos objectifs convergent. En retour, je souhaiterait un soutien lors de moments éprouvants, ainsi qu'une ambiance digne de ce nom.Après en, je vais vous conter une histoire, mon histoire et ce sera à vous d'en tirez les conclusions :
Il s'éclaircit la gorge et commença à parler d'une voix tremblante au début, sachant qu'il jouait son adhésion, mais qui devint forte au fur et à mesure qu'il avançait dans son récit:
Je suis né dans le Grand Nord, dans un autre royaume que mon royaume actuel. Mes parents, n'étant pas des nobles, m'apprirent à survivre à partir de rien. Malheureusement, ils décèderent à la suite d'une crise cardiaque commune...Fou de chagrin, je partit à travers monts et vallées jusqu'à une nuit où j'approchais d'une forêt. J'appris plus tard qu'il s'agissait de la forêt d'Areêval. Arrivé à l'orée de la forêt, je vis un elfe qui était assis à regarder les étoiles. Alors il se tourna vers moi et me regarda avec des yeux où je vis de la pitié comme si il avait lu dans mon esprit. Son regard était hypnotique, nous restâmes ainsi pendant toute la nuit. A l'aube, il commença à me parler, voici ce qu'il me dit:" Toi à l'âme déchirée, je vois en toi de la tristesse, beaucoup de tristesse...Vient avec moi et je t'enseignerai la science des armes ainsi qu'une initiation à l'Art Magik. Veux-tu venir ?"
Je ne pouvais qu'accepter. Ainsi commença des années où je put développer des capacitées physiques hors du commun ainsi qu'une bonne connaissance de l'Art Magyk.
Malheureusement, ces années bonheurs ne durèrent point, lorsque j'atteins ma seixième année, l'âge d'homme, mon maitre Ismaël et moi nous baladiont dans un petit bois pour récolter des plantes médicinales lorsque, surgissant de nulle part, une troupe de démons nous attaquèrent. Malgré la dexterité de mon maître et mon coup d'épée, le combat ne finissait point. Un moment maudit, mon maître trébucha et une lame lui transperca le cou. Je poussa alors un cri de desespoir et me lança contre son assassin. Utilisant de la Magyk et de mon épée, je les firent hésiter, malheureusement un Prince arriva, commença à m'attaquer. Hélas, je ne pouvais rien faire, son habilité me dépassait... Il me défit. Je fut laisser pour mort et ils disparurent comme des ombres, laissant mon maître. Je me soignis avec le peu d'énergie qui me restait et le porta jusqu'à notre maisonnée. Là, je l'enterra et lui fit une tombe où j'ai mit tout mon amour d'apprenti et celui de fils. Je prit mes affaires; une épée nommée Athena, qui était elfique, un pommeau d'ivoire et une lame argentée veinée de vermeil; ainsi que mon arc.
Je partit le lendemain après un dernier regard douloureux envers cette maison qui m'avait accepter en son sein et que j'étais obliger de quitter. Pendant quatres années, je vécu sur les route, louant mes services au plus offrant, comme un mercenaire.
Or un jour où j'arrivais dans un royaume du nom d'Asternel, les paysans, connaissant mes actes passés, me mandèrent pour déloger une bande de malfrats qui dévastaient les villages, les pillaient et violaient sans raison. J'appris que le roi n'avait que faire de ces agissements, ne faisait que compter ses pièces d'or et ne s'occupant point du peuple. A ma surprise, il était haiit. Ils me proposèrent de me nommer roi si je délogeais les bandits de leur royaume. J'accepta de tuer les bandits, mais je n'acceptas pas de devenir roi, car je n'étais point de sang royal.
Je partis donc à la recherche des bandits. Des traces ainsi qu'un soupçon de magie m'ammenèrent jusqu'à eux. Ils étaient cacher dans une caverne sur le versent d'une montagne. Malheureusement, ils étaient une cinquantaine, je pouvais les attaquer de front. A la nuit levée, je me dirigea vers l'entrée de cette caverne. Un vent de méchanceté pure sortait en rafale, malgré tout, je me pris mon courage à deux mains et commença à pénétrer dans cet antre du diable. La sentinelle était assoupi, je lui trancha donc la gorge avec facilité. Ensuite, je m'avança jusqu'à trouver le chef de cette horde de bandits. Il était entrain de faire subirent un supplice dont je terrais le nom à une jeune femme. Lorsqu'il me vit arriver, il hurla des ordres à ses hommes, malheureusement, j'avais pris le soin de mettre en place une barrière magique, c'était donc un combat entre lui et moi. Lorsqu'il comprit qu'aucun de ces homes ne pouvaient l'aider, il sortit une masse d'arme affreuse. Alors commença un combat dont l'issue ne pouvait qu'être la mort de l'un d'entre nous. Sa terrifiante masse d'arme était d'une puissance supérieur à mon épée mais ma liberté de mouvement comblait cela. Lorsqu'il abatit son arme pour la enième fois, je lui transperça le ventre avant qu'il ne se remette d'aplomb. Un flot de sang vint à apparaitre là où je l'avais transperçé ainsi que dans sa bouche. Il mourut dans un gargouillement immonde. J'étais dans une fatigue immense, de plus j'étais ouvert en de nombreux endroits, lorsque ma barrière céda malheureusement... Je m'attendis à voir surgir une vague d'ennemis mais rien ne vint. Tous étaient partis. La jeune fille vint me remercier et me soutena. Arriver non loin de son village, je tomba dans les pommes. Je me réveilla dans un lit, mes blessures désinfectées et bandées. Alors je vis le conseil des paysans qui m'avais mandé entré, ils me remercièrent pour les avoir sauvé. Puis partirent avec un sourire aux lèvres. Une semaine passa durant laquelle je reprennais des forces et où mes blessures se refèrmerent. Lorsque je sortit de la cabane, on m'applaudis comme si j'étais un héros. Un du conseil des paysans arriva me donna un cheval puis nous partîmes lui et moi. Je ne savais pas où il m'emmenais. Je vis alors se dresser une tour au loin. Le conseiller me dit que le roi voulait me remercier. Je le crus. Arrivés au château, je vis tous les nobles qui m'attendais et un avec une couronne à la main. Je compris enfin où cela allais me mener. Je commença à protester mais aucun n'accepta mes arguments. Lorsque je leur parlais du sang royal, il me parlais de mon courage, lorsque je leur parla des problèmes liés à un changement de pouvoir, il me riaient au nez. Je fus donc courroné Roi d'Asternel. A ma grande surprise personne de protesta dans tout le royaume. Je fis toujours de mon mieux, j'espère avoir été un bon choix et que le peuple n'a pas une trop mauvaise opinion de moi.
Arrêta de parler pour reprendre son souffle pendant deux minutes. Puis recommença à parler:
Seigneurs du Saint Ordre, je ne veux plus voir mon peuple souffrir, c'est pour cela que je voudrais entre dans cette guilde pour ne plus voir mon peuple subirent les supplices de la guerre. Vous avez entendu mon histoire, vous avez mes buts, vous avez mes raisons... A vous de décidez de m'acceptez ou de me rejetez. Le choix d'être un Saint ou un Apprenti ne m'appartiens guère, c'est à vous de décidez, bien que je préfèrerais ne pas être un Apprenti..
Il s'asseya sur une chaise puis attendit le verdict
Jeu 30 Oct - 21:46
